COMMUNIQUÉ | Chaque année depuis 2019, l’association SOVAPE commande un sondage à l’institut BVA sur la perception des risques du vapotage par rapport au tabagisme et de la nicotine face au risque de cancer. À l’occasion de la publication de ce sondage (voir ci-dessous), SOVAPE propose aux médecins de soutenir un appel à mieux utiliser l’opportunité du vapotage dans la lutte contre le cancer.

MAJ le 28 octobre 2021, merci aux 117 médecins soutiennent déjà l’appel. Le formulaire qui leur est réservé, reste ouvert (voir en fin de texte).

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Vapotage et lutte contre le cancer

Appel aux pouvoirs publics et aux autorités sanitaires : le vapotage est une opportunité qu’il faut intégrer dans les plans de lutte contre le cancer, pour mieux combattre le tabagisme, premier facteur de risque.

On le sait : ne pas fumer permet d’éviter de nombreux cancers. Arrêter de fumer diminue très fortement les risques de contracter un cancer au fil des années. Si un cancer est déclaré, cesser de fumer améliore l’efficacité des traitements et prolonge l’espérance de vie.

La nicotine de substitution est un traitement validé qui facilite l’arrêt en réduisant la difficulté du sevrage. La nicotine ne provoque pas de cancers. Le vapotage permet lui aussi de se substituer avec une nicotine débarrassée des toxiques résultant uniquement de la combustion, responsables des pathologies du tabagisme.

Depuis plus de 10 ans, la recherche scientifique – qui doit se poursuivre – produit des études parfois controversées, mais qui établissent déjà le consensus :

  • vapoter est une aide efficace pour arrêter de fumer,
  • vapoter est extrêmement moins nocif que fumer.

Pourtant le vapotage pâtit d’une mauvaise image et de réglementations qui réduisent son accès et son efficacité

Troisième sondage annuel BVA pour SOVAPE [1] : 80 % des Français croient que la nicotine est cancérigène (en hausse de 2 points par rapport à 2020), et ils sont 77 % à ne pas savoir que vapoter est beaucoup moins risqué que fumer (en hausse de 2 points également). Ces tendances à l’inverse des réalités persistent d’année en année.

Plus de 99% des vapoteurs utilisent le vapotage pour réduire ou sortir du tabagisme. Pourtant la réglementation s’est uniquement focalisée sur la peur d’un usage par des non-fumeurs, en particulier les jeunes. Avec plus d’une décennie de recul, le vapotage apparait clairement comme une porte de sortie du tabagisme sans être une entrée vers celui-ci. Partout où le vapotage se développe, le tabagisme juvénile régresse.

En France, le vapotage est interdit de publicité et de « propagande ». La limitation européenne à 10 ml des flaconnages accroît le coût pour les utilisateurs et la limitation du taux de nicotine à 20 mg/ml réduit son efficacité pour le sevrage tabagique. L’intérêt et l’impact de ces mesures, supposées protectrices, n’ont jamais été évalués. Tout comme les conséquences des projets européens actuels de limitation des arômes et de taxes supplémentaires (en plus de la TVA à 20 %) qui pénaliseraient les usagers et les candidats à l’arrêt de la cigarette.

Une distorsion inédite en santé publique

Pour lutter contre le Covid19, les pouvoirs publics et les autorités de santé ont établi une balance bénéfice/risque de la vaccination appuyée sur les faits scientifiques. Des incitations officielles claires ainsi qu’une forte mobilisation des professionnels de santé ont poussé la population à agir dans le but de se protéger.

Concernant le vapotage, l’absence d’engagement des pouvoirs publics et des autorités de santé n’est plus acceptable. Il est essentiel, pour la santé publique, qu’ils se saisissent de cette opportunité inédite et historique pour accélérer le déclin du tabagisme et des méfaits qu’il provoque chaque année : 75 000 morts évitables, cancers, maladies respiratoires, maladies cardiovasculaires…

Appel à changer de paradigme sur le vapotage

Face aux ravages des cancers, les plans de lutte nationaux et supranationaux (Commission européenne), doivent intégrer le vapotage, favoriser les conditions de son efficacité et se fonder sur les faits pour en évaluer les risques.

Nous appelons tous les professionnels de santé en prise directe avec leurs patients prisonniers du tabagisme, à exiger un changement de posture des pouvoirs publics et des autorités sanitaires sur la question du vapotage, alors que se discutent actuellement les plans de lutte contre le cancer.

Selon l’INCa, 20 % des 382 000 cas de cancers qui se déclarent chaque année sont liés au tabagisme, dont 80 % des cancers du poumon [2].

Avec 14 millions de fumeurs en France, le vapotage n’est pas un problème. C’est une solution.

NOTES ET RÉFÉRENCES

[1] – Sondage BVA pour SOVAPE 2021 : à consulter ici.

[2] – INCa : Panorama des cancers en France, édition 2021 : https://www.e-cancer.fr/pdf_inca/preview/303372/4327939/file/Panorama%20des%20cancers%20en%20France_2021.pdf

 

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Si vous êtes médecin, vous pouvez soutenir l’appel en cliquant ici.

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120 soutiens :

Marion ADLER | Docteur | Tabacologue, addictologue, généraliste | Xavier AKNINE | Médecin | Médecin généraliste | Philippe ARVERS | Md, PhD | Addictologue et tabacologue | Martin ASSAYAG | Docteur | Psychiatrie | Sylvain BALESTER MOURET | Docteur en médecine | Addictologie clinique | Arnaud BALZAC | Docteur | Médecin addictologue | Vianney BASTIT | Docteur | ORL | Marie BÉJOT | Docteur | Tabacologue |Catherine BENNER | Médecin | Addictologue, tabacologue | Jacques BERTROU | Médecin | Addictologue | Frédérique BISIAUX | Médecin | Généraliste, douleur | Pascale BLOUET | Médecin | Psychiatre | Michel BOLOPION | Médecin généraliste | Addictologie | Anne BORGNE | Docteur | Addictologue | Harmony BOUCHEZ | Docteur | Médecin généraliste addictologue | Jean-Paul BOYES | Médecin généraliste | Addictologue | Camille BRAND | Médecin | Addictologue, tabacologue | Maxime BREBAN | Professeur en médecine, Chef de service, Directeur d’équipe de recherche Inserm / UVSQ Paris Saclay | Rhumatologie | Anne BRETEL | Docteur psychiatre | Psychiatre addictologue | Sylvie BOULANGER | Médecin | Nutritionniste Addictologie | Catherine BREUILLY-LEVEAU | Médecin | Médecine générale, service de tabacologie et addictologie | Barbara BROERS | Professeur | Médecine de l’addiction | Michel CADART | Docteur en médecine | Géneraliste coordinateur médical RESAD Vaucluse | Gérard CAMPAGNE | Médecin | Addictologue | Sophie CAPTIER | Médecin addictologue | Addictologie | Bernard CAULE | Docteur | Médecine générale | Roland CAZALIS | Docteur en médecine | Médecine générale | Hugues CHABRIAT | Professeur en neurologie | Neurologie vasculaire | Mattéeo CHIARETTI | Médecin | Addictologue | Pascal CLEMENSON | Docteur en médecine | Addictologue | Arnaud COCAUL | Docteur | Nutritionniste | Élodie COQUAN | Docteur | Oncologie | Stéphane CORBINAIS | Docteur | Gastro entérologue | François CORDONNIER | Docteur | Médecine générale | Alain CORNEN | Docteur en médecine | Cardiologie, réanimation médicale | Anne-Sophie COUTIN | Docteur | Gynécologie obstétrique | Jean-Pierre COUTERON | Psychologue | Addictologie | Sylvie DARSOUZE | Docteur | Tabacologue | Pascal DEBOVE | Médecin | Pneumologue | Michel DELAUNAY | Docteur | Ophtalmologie | Valentine DELAUNAY | Médecin | Addicto | Isabelle DELAUNAY LELIEVRE | Médecin | Pneumologue | Claire DELORME | Médecin | Soins oncologiques de support | Pierre DEMONTROND | Docteur | Pneumologue, oncologue thoracique | Corinne DEPAGNE | Docteur | Pneumologie | Hervé DOUARD | Médecin | Gastro-enétrologue | Gérard DUBOIS | Professeur honoraire de santé publique | Santé publique | Catherine DUBOS ARVIS | Médecin | Pneumo-oncologue | Dominique DUPAGNE | Docteur | Médecine générale | Olivier DURET | Médecin | Généraliste | Martine ENGERRAND | Docteur | Médecine générale | Françoise ETCHEBAR | Médecin généraliste | Addictologue | Jean-François ETTER | Professeur | Santé publique | Philippe EVENOU | Docteur en médecine | Dermatologue | Audrey FAVEYRIAL | Docteur, directrice des affaires médicales de centre François Baclesse | Oncologie médicale | Marie-Josée FERRO-COLLADOS | Médecin | Addictologue | Anaenza FREIRE MARESCA | Docteur de médecine | Infectiologie, addictologie | Marie-Pierre GALAIS | Médecin | Hépatogastroentérologue | Florent GASCOUGNOLLE | Docteur | Médecine générale | Benjamin GOUACHE | Docteur | Psychiatre | Philippe GRUNBERG | Médecin et enseignant | Généraliste | Renaud GUIU | Médecin | Médecin du sport | Jean-Marie HEID | Docteur | Médecin addictologue | Eliane HERRAN | Médecin addictologue | Addictologie | Bernard GÉRY | Médecin | Oncologue radiothérapeute | Sylvianne JACQUEMIN | Docteur en médecine | Psychiatrie | Bruno JOURNE | Médecin Addictologue | Addictologue | Jacques LACROIX | Médecin | Médecine générale | Marion LAFOSSE | Docteure | Anesthésiste-réanimateur | Christophe LAMARRE | Docteur en médecine | Spécialiste en médecine générale | Audrey LASNE-CARDON | Docteur | ORL et chirurgie cervico-faciale | Didier LAURENT | Médecin | Gastro-entérologue | Franck LE CAER | Docteur en médecine | Douleur soins palliatifs | Mathilde LECHEVREL | Enseignant – Chercheur | Toxicologie | Jacques LE HOUEZEC | Docteur en science de la vie et de la santé | Dépendance au tabac, tabacologue | Jacques LELOUTRE | Médecin | Addictologue | Brigitte MALNOURY | Médecin | Généraliste | Béatrice LE MAITRE | Médecin | Tabacologue | Thibault LE MEHAUTE | Docteur | Médecine générale | Annaïg LE PENNEC | Médecin | Addictologie | Delphine LEROUGE | Docteur | Onco radiothérapeute | Marie-Thérèse LETERTRE DELAUNAY | Docteur | Ophtalmologie | William LOWENSTEIN | Médecin interniste et addictologue, président SOS Addiction | Addictologie | Loredana MARTES | Médecin | Chirurgie thoracique | Gérard MATHERN | Docteur en médecine | Penumologue, tabacologue | Damien MAUILLON | Médecin | Addictologue | Astrid MAURAY CAPLANNE | Médecin | Addictologue | Marie-Line MAZURKIEWICZ LINE | Praticien hospitalier | Addictologue | Wajdi MEHTELLI | Docteur | Psychiatre, Addictologue, Tabacologue | François MEURET | Docteur en médecine | Médecin généraliste | Xavier MIRABEL | Médecin hospitalier, chef de pôle | Oncologue radiothérapeute | Pascale MODAI | Docteur | Médecin du travail | Jean-Pierre MOIROUD | Docteur en chirurgie dentaire | Orthodontie | Arnaud MUYSSEN | Médecin | Addictologue et biologiste | Saadia NAHLI | Médecin | Addictologie | Phuc NGUYEN | Médecin | Addictologie | Caroline PAPEIX | Médecin | Neurologue | Aurélie PARZY | Docteur | Gastroentérologie | Dominique PASQUET-MOULIN | Médecin | Généraliste | Etienne PATRICOT | Médecin | Addictologue | Antoine PELISSOLO | Professeur de médecine, chef de service | Psychiatrie | Annie PEYTIER | Docteur | Gastroentérologue, oncologue | Laurence PICARD | Docteur | Pharmacie | Aline PICON | Médecin | Addictologie | Estelle PIROLLO | Docteur | Addictologue | Philippe PRESLES | Docteur | Tabacologie, psychothérapie | Audrey RAMBEAU | Docteur | Oncologie | Gérard REGINE | Médecin | Généraliste | Matthieu RENARD | Médecin | Généraliste, addictologie | Thierry RENAUX | Médecin | Addictologie | Alexia ROMERO | Médecin | Psychiatrie | Rose-Marie ROUQUET | Docteur en médecine | Pneumologie, tabacologie | Christelle ROUSSEAU | Médecin | Médecine du travail | Pierre ROUZAUD | Médecine du travail, Toxicologie et médecine légale, réparation juridique du dommage corporel, médecine aéronautique | Kenneth SHERWIN | Docteur | Médecin généraliste | Jean-Baptiste TRABUT | Docteur | Addictologie | Marie VAN DER SCHUREN | Médecin | Tabacologue, addictologue | Nadine VIDÉ | Médecin | Tabacologue | Johanna WAEERMANN | Docteur | Oncologie | Alexandre ZAKINE | Psychologue | Addictologie

Revue de presse

LIBÉRATION – 12 octobre 2021 – Enfumage / Lutte contre le cancer : vape ou pas vape ?

Ressources

Nicotine et cancer

La nicotine provoque t-elle le cancer ? D’après l’OMS, non. Lien : https://cancer-code-europe.iarc.fr/index.php/fr/12-facons/tabac/1164-la-nicotine-provoque-t-elle-le-cancer

À lire également la publication récente de Cancer Research UK : E-cigarettes: what we know and what we don’t – Lien : https://news.cancerresearchuk.org/2021/04/26/e-cigarettes-what-we-know-and-what-we-dont/

Vapotage et cancer

Entre autres références, nous pouvons citer l’INCA qui déclare : « À la différence des cigarettes, elles ne contiennent pas de tabac, ne créent ni de fumée ni de combustion. Bien que la nicotine soit addictive et, à très haute dose, néfaste pour la santé, la cigarette électronique ne contient pas le vaste cocktail de produits chimiques cancérigènes trouvés dans le tabac combustible. » dans « La cigarette électronique: une opportunité de réduire le nombre de cancers liés au tabac? »

PDF chargeable : https://www.e-cancer.fr/content/download/198962/2674935/file/Ciigarette_electronique_Extrait_de_la_synthese_des_cancers_en_France_2016_20170530.pdf

Article datant de 2016 par le Pr Bertrand Dautzenberg et le Dr Daniel Garelik : Patients with lung cancer: Are electronic cigarettes harmful or useful?

Vapoter est une aide efficace pour arrêter de fumer

En France, selon le baromètre santé 2017 édité par SPF, 870.000 ex-fumeurs déclarent que la vape les a aidés à arrêter de fumer (dont 700.000 ex-fumeurs depuis au moins 6 mois), les principales aides utilisées sont la cigarette électronique (26,9%) et les substituts nicotiniques (18,3%)

Ref : Baromètre de Santé publique France 2017. Usage de la cigarette électronique, tabagisme et opinions des 18-75 ans – Pasquereau A, Quatremère G, Guignard R, Andler R, Verrier F, Pourchez J, Richard JB, Nguyen-Thanh V – 2019 – https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de- sante/tabac/documents/enquetes-etudes/barometre-de-sante-publique-france-2017.-usage-de-la-cigarette-electronique-tabagisme-et-opinions-des-18-75- ans

Ref : Tentatives d’arrêt du tabac au dernier trimestre 2016 et lien avec Mois sans tabac : premiers résultats observés dans le Baromètre santé 2017 – Romain Guignard (romain.guignard@santepubliquefrance.fr), Jean-Baptiste Richard, Anne Pasquereau, Raphaël Andler, Pierre Arwidson, Olivier Smadja, Viêt Nguyen-Thanh ; le groupe Baromètre santé 2017* Santé publique France, Saint-Maurice, France –
Lien : http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2018/14-15/2018_14-15_6.html

Vapoter est extrêmement moins nocif que fumer

L’agence de santé britannique estime que vapoter est 95% moins dangereux que fumer.

Une étude de l’institut Pasteur démontre que le vapotage réduit de 99,8 % des carbonyles, et jusqu’à 99,2% des hydrocarbures aromatiques polycycliques par rapport à la fumée de tabac, davantage que le tabac chauffé. L’institut appelle néanmoins à la prudence avant d’extrapoler une réduction des méfaits proportionnelle à la réduction des émissions.

Ref : Comparison of the chemical composition of aerosols from heated tobacco products, electronic cigarettes and tobacco cigarettes and their toxic impacts on the human bronchial epithelial BEAS-2B cells – Lien : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0304389420314060?via%3Dihub

Porte d’entrée pour des non-fumeurs, et en particulier, les jeunes dans le tabagisme

Des travaux menés par l’OFDT et l’INSERM indiquent non seulement l’absence d’effet de passerelle, mais suggèrent un effet de diversion du vapotage contre le tabagisme des adolescents. Les jeunes ayant essayé au moins une fois de vapoter ont un risque réduit d’environ 40 % de devenir fumeur d’ici leurs 18 ans par rapport à ceux qui n’ont jamais essayé.

Ref : Sandra Chyderiotis, Tarik Benmarhnia, François Beck, Stanislas Spilka, Stéphane Legleye, Does e-cigarette experimentation increase the transition to daily smoking among young ever-smokers in France?, Drug and Alcohol Dependence, Volume 208, 2020, https://doi.org/10.1016/j.drugalcdep.2020.107853.

Ref : Legleye, S., Aubin, H.‐J., Falissard, B., Beck, F., and Spilka, S. (2020) Experimenting first with e‐cigarettes versus first with cigarettes and transition to daily cigarette use among adolescents: the crucial effect of age at first experiment. Addiction – Lien : https://doi.org/10.1111/add.15330.

L’intérêt et l’impact de ces mesures, supposées protectrices, n’ont jamais été évalués, ainsi alors que les indices d’une interdiction des arômes se multiplient. Une publication parue dans JAMA pediatrics repose sur des données récoltées auprès de plus de 100 000 lycéens californiens dans le cadre du suivi biennal de la Youth Risk Behavior Surveillance System (YRBSS). Elle révèle que l’interdiction à San Francisco de vendre des produits du vapotage aromatisés a été associée à une augmentation du tabagisme chez les lycéens mineurs par rapport aux autres districts scolaires. – Lien : https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2780248

Une autre étude de cohorte américaine, comprenant près de 18.000 participants adultes, arrive au même conclusion : ceux qui avaient commencé à utiliser des produits avec des arômes autre qu’un arôme tabac étaient plus susceptibles d’arrêter de fumer que ceux qui utilisaient des arômes de tabac. – Lien : https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2766787